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mardi 10 mars 2009

Grocauchmar


Dans le cadre de notre Grand Livre de la Nuit, je fais écrire à chacun de mes élèves un rêve qui revient souvent... ou au moins, un rêve dont ils se souviennent, c'est déjà ça !

Je pense que, comme moi, ami lecteur, tu as au fond de ta mémoire un rêve d'enfant qui est venu te hanter plusieurs soirs de ta jeune vie... Un cauchemar, le plus souvent.
Parmi les textes relevés la semaine dernière, j'en ai retrouvés qui ressemblent fort à mon expérience personnelle : le fameux rêve pendant lequel on tombe comme une pierre pour se réveiller à la seconde où l'on est sensé s'écraser effroyablement... et il faut ensuite plusieurs minutes pour que le coeur, affolé, reprenne son rythme normal.

Mais le texte qui m'a le plus étonné, et de loin, c'est celui de mon Toto. Écoute plutôt, ami lecteur :

"Chez moi, le soir, je révise à fond mes devoirs pour une interrogation. Je dors. Je vois un dictionnaire et je me demande ce qu'il fait là. Je l'ouvre... des mots et puis des mots se faufilent dans ma tête. Ça m'effraye et je crie."

Qui veut se lancer dans une analyse ?

12 commentaires:

Ludo a dit…

Excuse mais là, impossible d'analyser quoi que ce soit tellement je fais pipi sous moi ! Il est très très fort ce toto !!

Anonyme a dit…

Je me rapelle d'un rêve que je faisais souvent étant petite... vous aurez le droit de vous moquez...

Quand j'étais petite je rêvais souvent que j'étais un petit lapin tout mignon, je me balladais dans l'herbe, un gentil petit garçon s'occupait de moi, me nourrissait, me caressait... et finallement à chaque fois je finissais en civet :S

J'ai jamais compris pourquoi... mais ça ne m'a jamais trop traumatisée !!

Anonyme a dit…

heuuuu moquer ER bien sûr !

Mistinguette a dit…

Et bien moi, enfant, j'ai rêvé à plusieurs reprises que nous étions à la campagne, dans le jardin de la maison de ma Mère'grand, sur la grande pelouse ensoleillée et fleurie, des tas d'enfants et leurs parents... Puis les enfants entraient dans la grande maison familiale et gravissaient un escalier plongé dans la pénombre pour atteindre la petite porte de bois située en son sommet. Je m'engageais et voyais avec TERREUR qu'un monstre immonde et cruel occupait la cage de l'escalier et attrapait les enfants qui passaient à sa portée. Il FALLAIT néanmoins atteindre cette fichue porte, coûte que coûte... Ce cauchemar m'a réveillée, haletante, plusieurs fois... et m'a marquée suffisamment pour que je m'en rappelle à ce jour.

Anonyme a dit…

Deux pour moi:
Je suis dans une maison qui rapetisse, rapetisse, et il n'y a plus d'air et il fait de plus en plus noir..; Et je me réveille assise en train d'avaler goulument de l'air...
( je précise que je suis un gros poil claustro et agoraphobe... héhéhé )
Et le second: je suis sur une balançoire qui balance de plus en plus fort, je suis malade... Et c'est suivi d'une scène très rapide, avec la mort de quelqu'un... Maintenant, je réussis à me réveiller avant la scène très rapide...
Je n'avais jamais réalisé que tu avais un blog, Mistinguette!!! Je vais venir te lire maintenant, ma petite tournée du matin au réveil...

Mistinguette a dit…

Bienvenue, Strychnine !
Bah dis donc : tous les comm. de ce post sont des visiteurs de Grumeauland ! C'est sympathique. Revenez quand vous voulez, j'adore !

Anonyme a dit…

On va essayer de bien se tenir, j'en suis sûre...
Je promets pas 125 comms par jour, hein... Parce que sinon, on travaille plus...
C'est trop fououou!!!!!!!!!!!!!!!!

Ludo a dit…

Tiens, et parceque tu le vaux bien, un autre comm !

Un rêve qui revenait souvent quand j'étais gosse, et même un peu plus vieux :
Je pouvais voler. C'était grisant. Lorsque je voulais le répéter à mes amis, ces derniers se moquaient de moi, et il m'était alors impossible de savoir comment faire pour décoller. Lorsque je finissais par y arriver (en fait, ça dépendait des versions de ce rêve, parceque parfois, c'était impossible de reprendre mon envol), je ne volais pas plus haut que la hauteur des genoux, il m'était impossible de regagner les sommets comme je l'avais fait seul. Et si jamais je refaisais le test sans personne autour de moi, soit je montais sans pouvoir contrôler mon ascension, soit je m'écrasais comme une mer** vers le sol. Dans les deux cas, je me réveillais en sursaut avec un noeud à l'estomac, comme lorsqu'on est au bord d'un précipice et qu'on a le vertige.

En tous cas, les rêves déposés ici valent le coup d'être analysés. Tiens, allez, je me lance, et j'essaie de poster mes résultats d'ici demain.

Anonyme a dit…

Super ton blog, Mistinguette !
En ce qui concerne le rêve de Toto... la peur d'apprendre ?? ('savais pas que ça existait...). En tout cas, il semble qu'il fasse son possible pour se faire remarquer, le petit diable ! Manquerait-il d'attention chez lui ?

Moi mon rêve récurrent quand j'étais petite (mmmrrrfff, ça m'arrive encore quelques fois ! arf!) : je cours, je cours, dans le noir...comme une dératée ! le sol (carrelage noir et blanc, notez le sens du détail ;-)) s'effondre sous mes pieds.. jusqu'à ce qu'il me rattrape et là, la chute!... sauf que je me réveille en donnant un magistrale coup de pied pour me rattraper. Quand j'étais petite, c'était le mur qui se prenait mon pied (aïe!)... maintenant, c'est mon z'homme (^^)

c'est grave doc' ? ^^

Et sinon, comment va la petite choupette avec une belle mère pire que Cendrillon ?? J'ai lu tes articles concernant cette petite fille... la belle doche semble avoir de gros pb psychologiques !

Anonyme a dit…

@ Mistinguette
J'aimais bien tes com's sur le grumeauland je me suis dit que j'aimerais bien ton blog... c'est le cas donc je reviendrais !

@ Ludo
Tout pareil pour toi ;)

Bellzouzou a dit…

Je rêve souvent que je passe un examen pour lequel je n'ai rien révisé...

Anonyme a dit…

En primaire, je faisais toujours le même rève lors de la rentrée des classes. J'arrivais le matin avec ma Maman à NDF. Tout allait parfaitement, un beau cartable tout neuf, des habits itou. Je passais le porche et ses grandes portes vert anglais, puis la loge de l'accueil et là... horreur ! Je n'avais pas de chaussures. Comment aller à l'école sans chaussures. Dans mon rève, c'était impossible. J'étais coincée à l'extérieur. Ce rève, je l'ai fait des années, au point de me rendre compte en le faisant qu'il s'agissait d'un songe.

Voili voila, si vous avez une explication...

Magali